Coucou,
Bon alors, un cheminement un peu "atypique" peut être, ma passion étant clairement le vol de distance, et ce dès le début. Bonne lecture et désolé pour le pavé !
- 1er vol en Juin 2014
- Brevet de pilote initial Décembre 2014, une quarantaine de vol
- Brevet de pilote Parapente Aout 2015, environ 110 vols pour 70h, une demi-dizaine de cross déclarés.
- Vol n° 157: Pour ne pas faire mentir Guy: Arbre ! Ce n'étais pas du au classique mauvaise adéquation conditions MTO ou area/niveau du pilote/matériel, mais a une bête erreur de navigation qui m'a emmené dans une vallée imposable, après avoir confondu celle-ci avec la vallée d'à côté très accueillante. Je raconterai éventuellement à l'occase. Pour ma défense, je pensais que c'étais un passage obligé pour le BPC ^^.
- Brevet de pilote confirmé Parapente Avril 2017, environ 230 vols, 230 heures, entre 20 et 30 cross de + de 15 bornes, quelques "gros" de plus de 50 kils. Pour le BPC, je me suis pris le temps, ce n'étais pas une urgence.
Aussi quelques compétes.
Qbi: ne m'intéresse pas pour l'instant.
- Plus des centaines d'heures de gonflage, dès le début. Il faut en bouffer jusqu'à ce que cela devienne un plaisir
!
- Plus une boulimie de théorie dés le début, qui m'a beaucoup aidé dans ma progression je pense, et qui faisais que je ne ressentais pas de "besoin urgent" de passer les brevets pour acquérir la théorie. Il m'a fallu aussi du temps pour rassembler les fonds afin de payer les appéros pour Guy, DTE à l'époque
.
- Plus un SIV, à refaire au plus vite.
J'approche maintenant des 400h de vol, je pense avoir eu peut être 2 ou 3 grosses fermetures "gérées", quelques attéros un peu "chauds" en cross, pas de gros sketch (enchainement de vracs), pas de secours. Les moments les plus dangereux ont peut être eu lieu au sol en gonflage, en conditions borderline.
Voila, j'espère que cela peut aider et que ce n'est pas trop "narcissique". Je pense que si j'avais du changer quelque chose à ce cheminement, c'est peut être écouter un peu plus les moniteurs au début, faire un stage de pilotage (et pas forcément SIV) plus tôt, voler et "crosser" peut être de manière moins solitaire, mais c'est dur de trouver des gens avec le même niveau et les mêmes envies.
Encore désolé pour le pavé (et l'ortographe/grammaire), je voulais donné une vision d'ensemble.
Thibault